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Courir ensemble, chacun·e à sa manière

Courir ensemble, chacun·e à sa manière

Et si la course à pied était bien plus qu’un simple sport individuel ?
Et si elle devenait un outil de lien social 🤝, un moyen d’expression libre, voire un engagement pour plus d’inclusion 🌍 ?

C’est le pari du tout premier Round Table enregistré pour le podcast Au-delà du mur 🎙️, dans un lieu emblématique de Fribourg : le chaleureux Café Le Populaire ☕.

🎤 Trois approches, une même passion

Autour de la table :

  • Solange Berset, présidente du Club Athlétique de Belfaux 🏅 : une structure historique et formatrice.

  • Joëlle Légeret, coach et secrétaire de l’association DNH Lausanne 👟 : un collectif inclusif et engagé.

  • Jesse Aellen, organisateur de la Backyard Ultra Fribourg et fondateur du groupe UMF 🔁 : des formats libres, décomplexés, et pleins de créativité.

Chacun·e incarne une vision différente de la course à pied :
du club structuré au collectif sauvage, en passant par des modèles hybrides. Mais tous ont en commun un objectif : créer du lien à travers le mouvement 🔗.

💬 Des idées, du rythme et du respect

Dans cet épisode, on parle de :

✅ formations & bénévolat,
✅ sécurité & encadrement,
✅ inclusion & diversité,
✅ éducation sportive,
✅ et même… de bière après l’effort 🍻 !

Plus qu’un débat, c’est une conversation vivante, sincère et inspirante ✨ entre trois visions complémentaires du running.

🎧 Écoute l’épisode complet

👉 Clique ci-dessous pour écouter cette discussion passionnante et découvrir comment courir ensemble peut prendre mille visages :

    Course des 3 Ponts 2025

    Course des 3 Ponts 2025

    La course des Trois Ponts : une fête populaire au cœur de la Gruyère 🏃‍♀️🏞️

    Chaque village a sa tradition. À Broc, dans le canton de Fribourg, la tradition a un nom : la course des Trois Ponts. Depuis près de 50 ans, elle rassemble les enfants, les familles, les coureurs élites et les marcheurs du dimanche dans une ambiance à la fois compétitive et conviviale.

    🎙️ Dans un nouvel épisode du podcast Au-delà du mur, j’ai tendu le micro à Jérémy Schouwey, enseignant, père de trois enfants, coureur de haut niveau et membre fondateur du CS Broc, ainsi qu’à Philippe Murith, président du comité d’organisation. Ensemble, ils nous racontent cette aventure collective et intergénérationnelle.

    Une course pour tous… vraiment tous !

    Avec ses parcours adaptés à tous les âges (500 m à 10 km) et à toutes les pratiques (course, marche nordique, course adaptée pour les personnes en situation de handicap), l’événement a su garder son esprit familial 🎈. Plus de la moitié des participants sont des enfants, souvent encouragés à s’inscrire par leurs enseignants, à commencer par Jérémy lui-même.

    Et pour cette 49e édition qui aura lieu le jeudi de l’Ascension, le 29 mai 2025, le parcours change : 9,6 km variés entre forêt, sentiers, Sarine et verdure gruérienne 🌳. Un parcours pensé pour être à la fois accessible et exigeant.

    L’enfant du village devenu modèle

    Jérémy Schouwey, surnommé « le Poulidor des Trois Ponts » en clin d’œil au célèbre cycliste 🥈, compte cinq deuxièmes places et une troisième place sur cette course. Sa relation à cette épreuve locale est chargée d’émotion : il y a grandi, il y enseigne, ses enfants y participent, et il rêve d’enfin l’emporter. Ce rêve pourrait bien devenir réalité… à moins qu’un certain Jeremy Hunt, son rival amical, ne lui coupe encore la route.

    Une fête avant tout 🥳

    Mais au-delà du chrono, ce qui ressort de notre échange, c’est la chaleur de l’événement. Les départs sont organisés pour permettre aux familles de courir, d’encourager, de partager un repas ou un verre 🍻. On y vient pour performer… mais aussi pour vivre un moment unique en communauté.

    🎧 Envie d’entendre les coulisses de cette course mythique et le témoignage de deux passionnés ?


    👉 Écoute l’épisode complet du podcast Au-delà du mur ci-dessous.

      Grand Prix de Berne 2025 – La course de trop?

      Grand Prix de Berne 2025 – La course de trop?

      Le 10 mai dernier, je prenais le départ du Grand Prix de Berne, un mois à peine après avoir couru le semi-marathon de Zurich. Franchement, je ne sais toujours pas pourquoi j’ai décidé de courir ce jour-là. La tête n’y était pas. Le corps non plus. Et pourtant, j’y étais. À Berne. Sur la ligne de départ. Avec mes chaussettes en coton et sans casquette.

      Une préparation… chaotique

      Dès la fin du semi, je m’étais remis à courir, trop vite, trop tôt. J’avais encore de la fatigue dans les jambes, mais je voulais capitaliser sur ma forme. Erreur. Les séances ne passaient plus, les sensations s’émoussaient. Et le jour J approchait. Sans mail de confirmation. Sans dossard visible. Sans réelle envie.

      Quand j’ai enfin reçu un SMS deux jours avant la course, j’ai compris que oui, j’étais bien inscrit. Mais au fond, j’espérais presque un empêchement. Je suis même allé à une dégustation de vin le midi, en me disant que ça me donnerait une bonne excuse pour ne pas courir. Spoiler : j’ai quand même couru. Échauffement improvisé en sprintant pour attraper mon train. Arrivée à Berne sous un soleil de plomb, sac mal préparé, chaussettes pourries, motivation bancale.

      Une ambiance folle… mais un corps en alerte

      Heureusement, le Grand Prix de Berne a cette magie : une ambiance exceptionnelle, un public survolté, un parcours entre vieille ville et forêt, un événement qui donne envie de se dépasser. Sauf que voilà, je n’avais pas envie de me faire mal ce jour-là. Pas vraiment. Alors j’ai couru. Avec la chaleur, la fatigue, et l’introspection qui montait à chaque kilomètre.

      J’ai terminé. Sans chrono de rêve. Sans euphorie. Avec la conviction qu’il était temps de lever le pied.

      Repos, recentrage, et humilité

      Cette course m’a rappelé une chose : on ne peut pas être en pic de forme toute l’année. Il faut savoir redescendre pour mieux remonter. Alors cette semaine, zéro course à pied. Je mise sur le renforcement musculaire. Je donne à mon corps ce qu’il demande : du repos.

      👉🏾 Si toi aussi tu enchaînes les dossards, écoute cet épisode. Il pourrait bien te faire réfléchir à la manière dont tu construis ton année sportive.

        Ultra Simple : Comment Olivier Crouvizier redéfinit la course à pied responsable

        Ultra Simple : Comment Olivier Crouvizier redéfinit la course à pied responsable

        Ultra simple : courir pour se reconnecter à l’essentiel 🏃‍♂️🌱

        Et si courir devenait un acte de résistance ? Un geste simple, conscient, débarrassé du superflu et reconnecté à l’essentiel ? Dans cet épisode d’Au-delà du mur, Olivier Crouvizier, auteur du livre Ultra Simple, nous partage son cheminement personnel et sa vision d’une pratique sportive plus responsable. 📘🎧

        Ingénieur en chimie de formation, Olivier a d’abord connu une carrière classique dans l’industrie, avec ses paradoxes éthiques et ses absurdités organisationnelles. Il y vivra un « burn-out éthique », une déconnexion totale entre ses valeurs profondes et le travail qu’on lui demandait d’accomplir. C’est de cette rupture qu’est née une lente mais puissante transformation, où la course à pied s’est imposée comme boussole. 🧭

        Dans cet épisode, on parle de ses débuts en course ⚡️, de ses errances et de la manière dont il a déconstruit un à un les dogmes du coureur moderne : alimentation industrielle 🍽️, obsession des données 📊, quête de performances 🏆 et accumulation de dossards 🏋️. Avec franchise et humilité, Olivier raconte comment il a quitté Strava 🗳️, redéfini son rapport à l’effort, et appris à voyager sans partir, en explorant les chemins près de chez lui 🌽🛃.

        Loin du discours culpabilisant, Ultra Simple propose une autre façon de vivre le sport. Une pratique alignée avec ses valeurs, où l’on questionne son matériel 🛅, ses déplacements 🚋, son alimentation 🥗, mais aussi le sens de ce que l’on fait ❓. Un regard lucide, mais jamais donneur de leçons, sur la transformation possible de nos habitudes. 🔄

        L’épisode aborde aussi le rôle des élites dans la transition écologique 🌼️, à travers les figures d’Andy Symonds et de Xavier Thévenard, et présente la naissance d’un mouvement : Ultra Simple, qui vise à redonner du sens au trail et au sport en général. 🚀

        Un épisode riche, à la fois introspectif, inspirant 🌟 et profondément utile pour tous ceux qui veulent ralentir, se recentrer 🌎 et courir autrement. ⛵️

        📅 Prenez 5 minutes, puis 1 heure : Commencez par lire cet article, puis écoutez l’épisode pour plonger dans le parcours d’Olivier Crouvizier et découvrir les clés d’une pratique plus alignée avec vos valeurs. ✨
          Julien Barbey se prépare pour le triathlon extrême de l’Himalaya

          Julien Barbey se prépare pour le triathlon extrême de l’Himalaya

          Au‑delà du bitume : cap sur l’Himalaya avec Julien, Christophe et René ⛰️🔥

          Quand un rêve d’altitude devient un projet bien réel 🏔️

          Imaginez : 3,8 km de natation en pleine nuit, 165 km de vélo sur des rampes à 20 %, puis 45 km de trail culminant à 4 000 m. C’est l’Himalayan Xtri, le triathlon extrême qui fait vaciller même les plus aguerris. Le 10 mai 2025, Julien Barbey – triathlète amateur, menuisier de formation et spécialiste des fenêtres le jour – prendra le départ de cette odyssée. Sa motivation ? Créer un « souvenir pour la vie » et prouver que, même avec un gabarit de 1,89 m et 80 kg, on peut jouer les chamois sous les drapeaux de prières. 🐐✨

          Une équipe née d’un éclair… de 600 km 🚴‍♂️⚡

          Julien et Christophe ne se connaissent que depuis 2023. Leur première poignée de main ? Sur le bord d’une route française, lors d’un défi vélo de 600 km entre Belfort (FR‑25) et Cassis, avalé en moins de 24 h. Christophe, bloqué au travail, saute dans la voiture d’assistance, rejoint le convoi… et encourage Julien à 40 km/h en lui tendant une gourde. Coup de foudre sportif : l’animal à pédales trouve son sherpa ! 🦅

          Pour l’Himalaya, le duo s’agrandit : René, jeune retraité et voisin de Julien, complète la « dream team » logistique. Trois tempéraments, un objectif commun : ramener leur copain entier ET finisher. 🤝

          Plan de bataille : entre Excel, tarte aux pommes et corde d’alpinisme 📊🥧🧗‍♂️

          • Analyse au scalpel 🔍 : Julien a décortiqué les chronos des 10 % de finishers (4 sur 27 en 2024 !) et s’est fixé des temps de passage « moyenne » et « worst case ». Excel est devenu son oracle.

          • Préparation minimaliste mais chirurgicale 💪 : trois séances par sport par semaine, masque hypoxique, sorties longues agrémentées… d’une part de tarte. « 99 % du temps, c’est l’entraînement ; alors autant le savourer », glisse-t‑il.

          • Christophe le pace‑maker 🏃‍♂️ : il fera toute la section trail (45 km / +3 200 m / –3 800 m) avec Julien, corde de sécu à la taille. Pré‑requis : conserver assez de jambes pour être « l’épaule solide » au moment où l’oxygène se fait rare.

          • René le logisticien 🚐 : trois semaines de dispo (merci la retraite !), gestion des ravitos et des pneus 30 mm qui doivent tenir sur du bitume parfois… inexistant.

          « Et si on échoue ? » — Le pacte lucide 💭

          Julien a déjà goûté à l’échec (tumeur bénigne, divorce, Keltman manqué). Sa parade : visualiser le pire dès J‑223, puis basculer en mode positif pour les 222 jours restants. « Si on échoue, on aura quand même vécu l’Himalaya ensemble », résume‑t‑il. Christophe, lui, suit la règle simple : « C’est SA course ; je m’adapte. S’il veut pousser, je pousse. S’il veut chiller, je chill. »

          Plus qu’un défi sportif, un manifeste du partage 💬❤️

          Au micro, les trois compères débordent d’un même credo : le sport n’a de saveur que si l’on partage la tarte à mi‑parcours, le café en haut du col ou les blagues à 3 h du mat’ dans la voiture d’assistance. Leur souhait : transmettre cette philosophie aux jeunes du Tri‑Club Esta Broye et à toutes celles et ceux qui se cherchent un rêve un peu trop grand — histoire de découvrir qu’il est peut‑être juste à la bonne taille.

          Prêts à vibrer ? 🎧✨

          Ce billet n’est qu’un aperçu des confidences, des chiffres fous et des éclats de rire capturés derrière les micros. Pour entendre :

          • le récit complet des coulisses logistiques,

          • les doutes et les astuces de Julien pour « lisser l’effort »,

          • la façon dont Christophe a posé ses congés sans cligner des yeux,

          • et la voix de René, l’atout zen de l’équipe…

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            Objectif course : réussir son affûtage et rebondir après l’arrivée

            Objectif course : réussir son affûtage et rebondir après l’arrivée

            Avec l’arrivée du printemps, les grandes courses populaires font leur retour : le semi-marathon de Zurich, les 20 km de Lausanne, le Grand Prix de Berne… Ces événements marquent souvent l’aboutissement de plusieurs semaines de préparation. Pour beaucoup de coureurs amateurs, c’est un objectif phare de la saison, atteint au prix d’un entraînement régulier, parfois contraignant, et souvent au détriment du temps en famille ou du repos.

            À l’approche du jour J, une question revient avec insistance : que faut-il faire pour être prêt ? Et une fois la ligne d’arrivée franchie, comment éviter le fameux blues post-course ?

            Dans cet épisode du podcast Au-delà du mur, Hugo Cabral reçoit Véronique Durrer, formatrice chez Swiss Olympic et entraîneure expérimentée. Ensemble, ils passent en revue les éléments clés à maîtriser pour optimiser la phase d’affûtage avant une course, et pour bien gérer l’après-course.

            🧘‍♂️ L’affûtage : la dernière ligne droite avant la course

            L’affûtage, ou tapering, est une période stratégique dans la préparation d’une course comme un semi-marathon. Il s’agit de réduire progressivement l’intensité des entraînements afin d’arriver en pleine forme le jour de la compétition.

            Véronique Durrer rappelle que cette phase ne signifie pas l’arrêt total de l’activité, mais plutôt une diminution intelligente de la charge. Pour les coureurs les plus expérimentés, 3 à 5 jours d’affûtage suffisent. Pour ceux qui préparent leur premier semi-marathon, il est recommandé de prévoir jusqu’à 10 jours de réduction progressive du volume. L’objectif est simple : arriver frais sans perdre les bénéfices de l’entraînement accumulé.

            Durant cette période, il est essentiel de conserver une certaine régularité pour ne pas désorganiser le corps et l’esprit. La fréquence des séances peut être maintenue, mais leur durée et leur intensité doivent être réduites. Il faut aussi éviter de commettre des erreurs fréquentes comme tester de nouvelles chaussures, modifier son alimentation ou réaliser une séance intense de dernière minute. Ces faux pas peuvent compromettre des mois de préparation.

            🍝 Nutrition avant la course : ce qu’il faut savoir

            Un autre élément souvent négligé concerne la nutrition avant une course longue. Contrairement à un 10 km, une course comme un semi-marathon nécessite une attention particulière sur le plan alimentaire.

            Dans les jours précédents, il faut éviter les repas trop riches ou trop gras, privilégier une alimentation digeste et bien s’hydrater. Le jour J, un petit-déjeuner testé à l’entraînement est vivement recommandé. Et si vous comptez prendre un gel énergétique ou une collation pendant la course, il est indispensable de l’avoir expérimenté au préalable à l’entraînement pour éviter tout désagrément gastrique.

            🧭 Après la course : le flottement… et le rebond

            Une fois l’objectif atteint, place à une autre phase parfois sous-estimée : la récupération physique et mentale.

            Beaucoup de coureurs ressentent un mélange d’euphorie et de vide. Ce sentiment, appelé blues post-course, est courant, surtout lorsqu’un objectif important vient d’être atteint.

            Il est donc essentiel de prévoir une phase de récupération après un semi-marathon ou un marathon. Véronique Durrer conseille de s’accorder une semaine de pause pour un semi, et davantage pour un marathon, afin de permettre au corps de se régénérer. Pendant cette période, observez votre sommeil, votre motivation, vos douleurs éventuelles. Et ne culpabilisez pas de ne pas avoir envie de vous entraîner tout de suite : c’est une phase normale et bénéfique.

            🔁 Et si la course ne se passe pas comme prévu ?

            Malgré toute la préparation, il peut arriver que la course ne reflète pas vos efforts.

            Dans ce cas, il est important de prendre du recul et d’analyser les causes. Météo difficile, erreur de rythme, nutrition mal gérée… autant de facteurs peuvent impacter la performance. Pour rebondir, Véronique recommande de prévoir en amont une course de secours : une course similaire, quelques semaines plus tard, qui permet de remettre les choses à plat et de reprendre confiance.

            Cette stratégie fonctionne très bien pour les coureurs amateurs, car elle donne une deuxième chance sans repartir de zéro.

            🎉 Célébrer, planifier, avancer

            Votre saison ne se résume pas à une seule course. Prenez le temps de savourer votre réussite, de célébrer chaque progrès… et de vous projeter avec plaisir vers la suite.

            “Le plaisir doit toujours rester au cœur de votre pratique. Souriez sur la ligne d’arrivée. Et pensez déjà à la suite, mais sans précipitation.”
            Véronique Durrer

            🎧 Écoutez l’épisode complet

            Dans cet épisode, vous trouverez des réponses concrètes à toutes vos questions sur l’affûtage, la récupération post-course, la gestion de la motivation et la planification d’une saison de course à pied. Que vous soyez coureur débutant ou amateur régulier, vous en ressortirez avec des outils simples et efficaces pour progresser tout en respectant votre équilibre de vie.

            👉🏾 Cliquez sur le player ci-dessous pour écouter l’épisode complet.

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              Bonne écoute… et surtout, bonne course !

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