Comprendre les liens entre le sport et l’alcool

Comprendre les liens entre le sport et l’alcool

Sport et alcool : comprendre les liens et les enjeux avec Cécile Homberg

Entre marketing ciblé, traditions sportives et convivialité, le lien entre sport et consommation d’alcool est complexe. Dans ce nouvel épisode d’Au-delà du mur, j’ai reçu Cécile Homberg, psychologue du sport et déléguée du programme Cool & Clean pour Swiss Olympic dans le canton de Vaud.

Marketing et visibilité de l’alcool dans le sport

Le marketing de l’alcool reste très présent dans les manifestations sportives populaires et professionnelles. Que ce soit dans le hockey, la course ou d’autres disciplines, les marques utilisent le sport pour toucher un large public. Cette stratégie associe l’alcool à des moments fédérateurs et festifs, ce qui peut influencer les comportements, même chez les jeunes. Nous abordons également les boissons dites “sans alcool” ou “0,0” et l’importance de vérifier leur composition, car certaines contiennent encore un faible pourcentage d’alcool pouvant avoir un impact physiologique.

Convivialité et ambiguïté

Les traditions, comme la fameuse bière du finisher, ou la convivialité en club, créent une ambiguïté : l’alcool est valorisé tout en étant potentiellement contraire à la performance et à la récupération. Cécile souligne l’importance de distinguer ce qui relève de la culture festive de ce qui devient une norme sociale, particulièrement chez les jeunes sportifs.

Influence du milieu social et de l’éducation

Le comportement des proches, le contexte scolaire ou professionnel et l’environnement du club influencent fortement la manière dont chacun perçoit et consomme de l’alcool. Le sport peut agir comme facteur protecteur dans certains groupes, mais comme facteur facilitateur si la consommation y est la norme. Développer un esprit critique et savoir s’affirmer dans ses choix est essentiel.

Prévention et modération

Avec des initiatives comme Cool & Clean, il est possible d’ouvrir le dialogue, de sensibiliser les jeunes et d’aider les sportifs à réfléchir à leurs motivations et à leurs limites, sans culpabilisation. L’objectif est d’adopter une consommation consciente, profiter de la convivialité de manière équilibrée et garder le plaisir comme moteur, que ce soit dans le sport ou dans la vie quotidienne.

Cet épisode offre des clés concrètes pour comprendre le lien entre sport et alcool, réfléchir à sa consommation et promouvoir une culture sportive saine et responsable.

    💬 Tu veux soutenir le podcast ?

    C’est simple et ça m’aide énormément :

    • 🎧 Abonne-toi à Au-delà du mur sur ta plateforme d’écoute préférée (Spotify, Apple Podcasts…)

    • Laisse un avis 5 étoiles si tu as aimé l’épisode

    • 📲 Suis-moi sur Instagram @podcastaudeladumur pour découvrir les coulisses, ne rien manquer des sorties, et participer aux concours

    🙏🏾 Merci de faire vivre cette aventure avec moi !

    Le secret de Theres Leboeuf pour courir longtemps

    Le secret de Theres Leboeuf pour courir longtemps

    🏃‍♀️ Theres Leboeuf : courir libre, durer longtemps

    Elle s’appelle Theres Leboeuf, elle est maman de trois enfants, et elle a terminé 9e au classement général des Golden Trail Series 2024. Mais ce que vous allez retenir d’elle, ce n’est pas seulement son classement. C’est sa philosophie.

    Dans un monde où l’on parle beaucoup de performance et de chiffres, Theres court pour autre chose : le plaisir, l’équilibre, et la liberté de durer.

    Une athlète hors-norme… et hors cadre

    Theres ne rentre pas dans les cases classiques du sport d’élite. Après des années dans le ski de fond et le ski d’orientation, elle a bifurqué vers la course en montagne. À une période de la vie où beaucoup pensent à ralentir, elle, elle accélère encore. Podiums à l’international, top 10 mondial, et tout ça… sans avoir jamais vraiment « planifié » de devenir une athlète professionnelle.

    Dans cet épisode d’Au-delà du mur, elle partage ce parcours inattendu avec humilité. Elle parle de son rapport à la compétition, mais aussi des raisons pour lesquelles elle a besoin de courir : pas pour les likes, ni pour les podiums, mais pour se sentir vivante.

    Concilier trail, famille et sérénité

    Être performante à haut niveau en ayant trois enfants ? C’est possible, nous dit Theres, mais ça demande des choix. Des compromis. Et surtout, beaucoup d’organisation. Dans l’épisode, elle raconte comment elle court parfois avec une poussette, comment elle s’entraîne pendant que ses enfants sont à l’école, et pourquoi elle a appris à dire « non » pour se préserver.

    Elle évoque aussi un sujet trop souvent tabou : le droit de faire une pause. Dans une société où il faut toujours aller plus vite, elle ose ralentir. Elle prend parfois 2 à 3 semaines sans courir, 6 semaines sans intensité. Et devinez quoi ? Elle revient plus forte.

    Des conseils simples pour durer

    Si vous cherchez des secrets pour performer sur le long terme, vous serez peut-être surpris : rien d’extraordinaire, mais beaucoup de bon sens. Theres parle de régularité, de sommeil, de plaisir à l’entraînement, de variété dans les activités (vélo, ski, musculation, yoga) et surtout… d’amour pour ce qu’elle fait.

    Son message est clair : « Il faut aimer ce qu’on fait. C’est tout. »

    Retour sur ses courses de mai à août 2025

    Depuis le mois de mai, Theres a poursuivi son année 2025 avec discipline, plaisir et de très beaux résultats :

    • 🥇 20 km de Lausanne (4 mai) : 1re chez les femmes F40 en 1h14’59”

    • 🏔️ Zegama-Aizkorri (29 mai) : 68e scratch, 5e femme sur 61 en 4h33’29”

    • 🏃‍♀️ Marathon du Mont-Blanc (29 juin) : 7e femme sur 390, en 4h25’49”

    • 🏞️ Eiger Ultra Trail 41 km (19 juillet) : 9e au scratch, 2e femme en 4h15’28”

    Des résultats solides, constants et inspirants, à l’image de ce que Theres partage dans l’épisode.

    Un épisode qui inspire bien au-delà du sport

    Cet épisode est une source d’inspiration pour les parents, les femmes, les sportifs amateurs ou les athlètes en quête d’équilibre. On y parle trail, mais surtout vie. Organisation. Liberté. Ralentissement. Et passion.

    👇 Écoute l’épisode juste ici et laisse-toi inspirer par la sagesse et l’énergie de Theres Leboeuf :

      💬 Tu veux soutenir le podcast ?

      C’est simple et ça m’aide énormément :

      • 🎧 Abonne-toi à Au-delà du mur sur ta plateforme d’écoute préférée (Spotify, Apple Podcasts…)

      • Laisse un avis 5 étoiles si tu as aimé l’épisode

      • 📲 Suis-moi sur Instagram @podcastaudeladumur pour découvrir les coulisses, ne rien manquer des sorties, et participer aux concours

      🙏🏾 Merci de faire vivre cette aventure avec moi !

      Courir en été

      Courir en été

      🏃‍♂️ Courir torse nu en été : ce que vous devez vraiment savoir 🌞

      L’été est là, le soleil tape, et l’envie est grande de s’alléger au maximum pour aller courir. Beaucoup de coureurs — en particulier les hommes — optent pour un entraînement torse nu lorsque les températures grimpent. Sensation de liberté, peau qui respire mieux, t-shirt trempé évité… les arguments ne manquent pas. Mais est-ce vraiment une bonne idée ?

      Voici un point complet pour peser le pour et le contre, et surtout, comprendre les risques souvent sous-estimés d’un entraînement torse nu.

      🌞 Se protéger des rayons UV : une priorité pour tous les coureurs

      Courir torse nu, c’est exposer directement une grande partie de sa peau au soleil. Or, même une sortie d’une heure en pleine journée peut suffire à provoquer un coup de soleil, voire des dommages plus profonds à long terme (vieillissement prématuré, risque de cancers cutanés).

      Un t-shirt technique léger, avec protection anti-UV, constitue une barrière efficace, bien plus fiable que la crème seule, souvent inefficace en cas de transpiration abondante ou frottements .

      🦟 Éviter les piqûres d’insectes : moustiques, taons et autres compagnons d’été

      Courir torse nu, c’est offrir une surface idéale aux moustiques qui prolifèrent durant l’été – zones boisées, lacs, ou en soirée. Le t-shirt agit comme une barrière physique, limitant les démangeaisons, les irritations et le risque de distraction .

      💦 Transpiration : gérer l’humidité pour rester performant

      Contrairement aux idées reçues, courir torse nu n’assure pas une meilleure évaporation. Au contraire :

      • un t‑shirt technique absorbe la sueur,

      • évite les gouttes gênantes qui ruissellent sur le corps,

      • limite les frottements (notamment des tétons) et les irritations post-run.

      💬 L’aspect social : entre confort personnel et cadre collectif

      Rien d’obligatoire, mais courir en t‑shirt peut être plus respectueux dans les espaces très fréquentés (parcs, courses populaires, etc.). Cela montre une forme de considération envers les autres usagers.

      👕 Choisir le bon t-shirt : la solution idéale ?

      Opte pour un t‑shirt :

      • léger, respirant, anti‑UV (indice UPF élevé),

      • de couleur claire pour limiter l’absorption de la chaleur,

      • avec une coupe adaptée à ton style (ample ou ajustée),

      • et, si possible, zones ventilées (mesh, mailles aérées).

      🧍‍♂️ Et moi dans tout ça ?

      Franchement, je suis de la team t‑shirt technique. Pas pour le style, mais pour :

      • la protection (UV, insectes),

      • le confort pendant l’effort,

      • éviter les irritations post-entraînement.

      Entre toi, transpirer dans un haut bien respirant, ce n’est clairement pas la même expérience que ruisseler torse nu sous le soleil ou lors d’une chasse aux moustiques.

      🧠 En résumé

      Risques courus en courant torse nu Solution simple
      Coup de soleil T-shirt anti-UV
      Piqûres d’insectes Tissu couvrant ou répulsif
      Transpiration mal gérée Matières techniques
      Inconfort social ou frottements Haut adapté à la situation

      👉 Le conseil final : Performance ET prévention

      Courir torse nu peut sembler rafraîchissant… mais ce n’est pas toujours la meilleure option pour la peau, le confort, les conditions ou les autres coureurs. Un bon équipement, c’est un super allié pour les longues échéances.


      📲 Pour plus de conseils estivaux et autres astuces running, rejoins-moi sur @podcastaudeladumur !
      🎧 Et découvre chaque semaine un nouvel épisode pour bien progresser, même en été.


      🔗 Ressources suisses fiables – protection solaire

      Si tu veux approfondir, voici quelques sites suisses incontournables :

      1. Office fédéral de la santé publique (OFSP/BAG)
        Infos sur les rayons UV, conseils de protection, pictogrammes clairs serval.unil.ch+10laroche-posay.ch+10liguecancer.ch+10d-a.ch+1serval.unil.ch+1fr.wikipedia.orgcolumbiasportswear.ch+13bag.admin.ch+13prevention.ch+13

      2. Suva – module prévention “Soleil, chaleur, UV”
        Recommandations pour protéger les travailleurs et sportifs, avec conseils pratiques et aides pédagogiques liguecancer.ch+14suva.ch+14suva.ch+14

      3. Ligue suisse contre le cancer – Se protéger du soleil
        Stratégies simples : ombrage, chapeaux, lunettes, vêtements anti‑UV, crème solaire swisslife.fr+4liguecancer.ch+4prevention.ch+4

      4. derma.swiss (SGDV/Melanoma.ch)
        Détails sur facteurs SPF, renouvellement, index UV, protection enfants bag.admin.ch+2derma.swiss+2liguecancer.ch+2

      5. prevention.ch – Collection “Protection solaire et prévention du cancer”
        Collection d’articles récents sur les bonnes pratiques en vacances et au quotidien prevention.ch

      Newsletter

      Ne manquez pas les promotions et les nouveautés que nous réservons à nos fidèles abonnés.
      Votre adresse de messagerie est uniquement utilisée pour vous envoyer notre lettre d'information ainsi que des informations concernant nos activités. Vous pouvez à tout moment utiliser le lien de désabonnement intégré dans chacun de nos mails.
      Insécurité des femmes en course à pied

      Insécurité des femmes en course à pied

      Courir, mais à quel prix pour les femmes ? 🏃‍♀️

      Quand on parle de course à pied, on imagine souvent un moment de liberté, un exutoire, une activité simple et accessible à toutes et tous.
      Mais pour beaucoup de femmes, courir ne va pas de soi. Ce n’est pas toujours une évidence, ni un moment serein.
      C’est ce que j’ai découvert en travaillant sur cet épisode du podcast Au-delà du mur. 🎙️

      Une réalité invisible (ou qu’on ne veut pas voir) 👀

      Avant de me pencher sur ce sujet, ma plus grande peur en courant le soir, c’était de me faire renverser par une voiture.
      Et puis j’ai tendu le micro. J’ai écouté des femmes me parler des regards insistants, des remarques sexistes, de ces détours qu’elles prennent instinctivement pour éviter certains quartiers ou endroits mal éclairés.
      Des situations que beaucoup vivent — mais qu’elles taisent, par habitude, par peur, ou parce que “c’est comme ça”.

      Les témoignages que j’ai récoltés sont bruts, sans fard. Ils disent une chose simple : pour beaucoup de femmes, courir demande plus qu’une bonne paire de baskets. Cela demande du courage, de la stratégie, parfois même du renoncement.

      Créer des espaces plus sûrs ✊

      Joëlle Légeret, de l’association DNH à Lausanne, m’a expliqué comment ils ont très vite mis en place des sorties non mixtes.
      🎽 Leur initiative “Le Mardi des Filles” proposait des sessions réservées aux femmes ou aux personnes s’identifiant comme telles.
      L’objectif ? Offrir un espace sûr pour celles qui ne se sentaient pas à l’aise dans des groupes mixtes, ou qui avaient déjà subi des agressions ou remarques sexistes pendant leurs sorties.

      L’accueil de cette initiative a été mitigé, notamment chez certains hommes. Pourtant, elle répondait à un besoin réel, encore trop souvent ignoré.

      Une ville à l’écoute de ses citoyennes 🏙️

      J’ai également rencontré Lise Scholefield-Cordey, Responsable Femmes & Sport à la Ville de Lausanne.
      La ville a mis en place plusieurs mesures concrètes : des parcours pensés par des femmes, des groupes de course non mixtes, et une réflexion plus large sur l’accessibilité et la sécurité de l’espace public.
      C’est un exemple inspirant d’une collectivité qui agit, plutôt que de minimiser.

      Prendre du recul avec les sciences sociales 🧠

      Pour mieux comprendre ce que ces témoignages disent de notre société, j’ai discuté avec la sociologue Solène Froidevaux.
      Elle questionne notre rapport à l’espace public, aux normes de genre, à la socialisation des filles et des garçons.
      Pourquoi certaines attitudes persistent-elles ? Quel rôle joue la société de l’image 📸 dans la manière dont les corps sont perçus dans l’espace public ? Et que peut-on changer, dès l’école, dans nos modèles éducatifs ?

      Mon intention ❤️

      Cet épisode m’a bousculé.
      Il m’a fait comprendre des choses que je n’avais jamais vues ou ressenties.
      Je n’ai pas cherché à juger, ni à interpréter. J’ai voulu écouter.
      Et donner à entendre, avec respect, ces récits et ces voix.

        💬 Tu veux soutenir le podcast ?

        C’est simple et ça m’aide énormément :

        • 🎧 Abonne-toi à Au-delà du mur sur ta plateforme d’écoute préférée (Spotify, Apple Podcasts…)

        • Laisse un avis 5 étoiles si tu as aimé l’épisode

        • 📲 Suis-moi sur Instagram @podcastaudeladumur pour découvrir les coulisses, ne rien manquer des sorties, et participer aux concours

        🙏🏾 Merci de faire vivre cette aventure avec moi !

        Bouger pendant la grossesse : mythes, vérités et conseils concrets

        Bouger pendant la grossesse : mythes, vérités et conseils concrets

        🤰🏽 Grossesse et sport : en finir avec les idées reçues 🏃‍♀️

        Pendant longtemps, on a dit aux femmes enceintes de rester au repos 🛌, d’éviter tout effort physique 🚫🏋️‍♀️. Pourtant, ces recommandations relèvent souvent plus de la croyance que de la science 📚.

        Dans un nouvel épisode du podcast Au-delà du mur 🎙️, j’ai eu la chance d’échanger avec Douanka Gendreau, physiothérapeute spécialisée en rééducation périnéale 🧠💪. Ensemble, on casse les mythes 🔍 et on partage des conseils concrets 💡 pour mieux vivre sa grossesse — corps et esprit.

        🧘‍♀️ Bouger pendant la grossesse : une nécessité plus qu’un risque

        Les études sont claires ✅ : l’activité physique est bénéfique pendant la grossesse, dans la majorité des cas. Pour une grossesse sans complications, continuer à bouger permet :

        • de renforcer le plancher pelvien 🦴,

        • de soulager les douleurs au dos et au bassin 🤕,

        • de faciliter l’accouchement 🍼,

        • et de mieux récupérer après 💪.

        🌀 Le plancher pelvien : ce grand oublié

        Ce groupe de muscles méconnu est essentiel au bon déroulement de la grossesse et de l’accouchement. Apprendre à le contracter et à le relâcher est une compétence clé 🔁.

        “Renforcer ne veut pas dire contracter en boucle. C’est aussi apprendre à relâcher.” – Douanka Gendreau

        ✅ Objectifs : meilleure conscience corporelle, contrôle, réduction des fuites urinaires, et moins de risques de complications.

        🧠🫶 Une préparation globale : physique, mentale… et en couple

        Préparer un accouchement, c’est comme préparer un marathon 🏁 : il faut du physique, du mental et du soutien.

        Les partenaires jouent un rôle central 💞 :

        • encourager à bouger 👣,

        • adapter les séances selon la forme du jour 📆,

        • accompagner dans les étirements et la respiration 🌬️,

        • être présent·e pour soulager, motiver, rassurer ❤️.

        🎧 Pour aller plus loin : écouter l’épisode complet

        Dans l’épisode, découvrez :

        • les idées reçues les plus fréquentes ❌,

        • les exercices recommandés trimestre par trimestre 📅,

        • des ressources utiles pour s’informer 👩‍💻,

        • et le récit personnel de Douanka Gendreau 💬.

        💬 À vous la parole !

        🤔 Ce contenu vous a parlé ?
        💬 Partagez vos réactions, vos expériences ou vos questions en commentaire !
        📲 Rejoignez la communauté sur Instagram : @podcastaudeladumur

        👉 Si cet épisode vous a plu :
        Laissez un avis 5 étoiles sur votre plateforme d’écoute
        🔗 Partagez-le à un·e futur·e parent·e
        ❤️ Soutenez le podcast en parlant de nous autour de vous

        À très vite pour un nouvel épisode,
        Hugo 🎙️

        🎙️ Écouter l’épisode ci-dessous :

        Durée : 45 minutes – parfait pour une marche ou une pause bien-être ! 🚶‍♀️🌿

          Du bypass à la ligne d’arrivée : l’histoire inspirante de Nicolas Blanc

          Du bypass à la ligne d’arrivée : l’histoire inspirante de Nicolas Blanc

          Passer d’un quotidien marqué par un surpoids difficile à gérer et des problèmes de santé à une vie plus équilibrée, soutenue par le sport et le développement personnel, est une aventure hors du commun. C’est pourtant le défi que Nicolas Blanc a brillamment relevé. Aujourd’hui, il exerce un métier qui le passionne, tout en continuant à puiser dans la course à pied l’énergie nécessaire pour avancer. Dans cet article, nous allons découvrir son parcours et ses réflexions sur la vie, la santé et la persévérance. ✨

          Un défi de santé majeur ⚕️

          Depuis son adolescence, Nicolas vivait avec un poids qui oscillait sans cesse. Ces variations se sont accentuées avec des difficultés professionnelles et personnelles, entraînant une perte de confiance en lui. Son état de santé s’est peu à peu dégradé : apnées du sommeil, problèmes articulaires et fatigue constante, au point de l’orienter vers une opération de bypass gastrique.
          Cette intervention, souvent considérée comme « anodine », nécessite en réalité un suivi psychologique et un important travail de remise en question. Nicolas a pu bénéficier du soutien sans faille de sa famille et de ses proches pour franchir toutes les étapes liées à cette chirurgie : sélection médicale, suivi diététique, réapprentissage alimentaire et surtout, gestion du regard des autres.

          La course à pied comme moteur 🏃‍♂️

          Avant son opération, Nicolas pratiquait déjà le baseball ⚾, mais la course à pied n’était pas son activité principale. Après le bypass, les premiers pas en running ont été difficiles, à la fois physiquement et mentalement. Mais à force de persévérance, il a fini par trouver dans la foulée une source d’épanouissement et de motivation. Il enchaîne désormais les kilomètres, toujours pour se dépasser et rester en forme, mais aussi pour partager sa passion avec ceux qui l’entourent.

          Un parcours d’éducateur et d’influence positive 🌱

          Malgré les difficultés professionnelles rencontrées, Nicolas a persévéré pour exercer le métier qui lui tient à cœur : éducateur. Aujourd’hui, il accompagne des jeunes, parfois en grande difficulté, et s’appuie sur son vécu pour leur transmettre un message d’espoir et de détermination. Son passé lui rappelle chaque jour qu’il est possible de se relever, même après un burn-out, et de transformer ses obstacles en forces.

          La force du partage 🤝

          Pour faire connaître son histoire et soutenir d’autres personnes traversant les mêmes épreuves, Nicolas a créé une page Instagram où il partage ses réussites, ses doutes et son quotidien. Parler ouvertement de son poids, de son opération ou de ses entraînements de course à pied lui permet d’entrer en contact avec une communauté bienveillante et solidaire.

          Vous voulez entendre le témoignage de Nicolas Blanc et plonger dans les détails de son parcours ?
          Ne manquez pas l’épisode du podcast « Coureur du Dimanche » juste en dessous ! Vous y découvrirez un témoignage poignant, mais surtout un message d’espoir pour tous ceux qui cherchent à se (re)construire et à avancer malgré les aléas de la vie.
          Bonne lecture… et excellente écoute ! 🎧